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accueil la galerie les artistes galerie en ligne contact • 58 rue des trois frères • 75018 paris • m° abbesses galerie d'art à montmartre entre le bateau-lavoir et la maison collignon ... la galerie les artistes galerie en ligne contact la galerie bienvenue en dehors des expositions d’artistes invités, la est également disponible à la location pour des expositions personnelles d’une semaine (peintures, sculptures, photographies, installations, …). designers, stylistes, si vous avez besoin d’un showroom pour présenter vos dernières créations ou recevoir vos clients dans un lieu privilégié, nos 41 m2 sont aussi à votre disposition. merci de nous contacter, nous examinerons avec attention votre demande. les conditions de location sont téléchargeables ici . prÉsentation agenda jean-michel faudemer prÉsentation jean-michel faudemer créa la au 58 de la rue des trois frères en 2002, au pied de la butte montmartre à deux pas du métro abbesses . 41 m2 baignés de lumière avec un espace modulable et chaleureux, où chaque semaine est exposé un artiste différent, peintre, plasticien, sculpteur, photographe, … les expositions sont volontairement brèves afin que la galerie bouge au maximum. ses choix sont éclectiques, il ne s’enferme pas dans une ligne particulière bien que ses goûts aillent vers le recycl’art. son but n’est pas de « se garder les artistes » mais de leur donner un coup de pouce pour les faire connaître au grand public, voire à d’autres galeries : jean-michel faudemer se veut « dénicheur de talents » . ce lieu était au préalable destiné à son travail artistique puisque lui-même se définit comme -artiste récupérateur- utilisant depuis 15 ans divers matériaux de récupération pour créer des assemblages. puis au fil du temps, cet atelier est devenu galerie au vu des nombreuses demandes d’artistes pour exposer dans cet espace. en passant à la galerie, vous pourrez suivre les pas du fabuleux destin d’amélie poulain jusqu’à la maison épicerie collignon , située juste à côté ou flâner jusqu’au bateau-lavoir , célèbre cité d’artistes, fréquentée par picasso, modigliani, max jacob, apollinaire, cocteau et bien d’autres. aujourd’hui le lieu abrite encore 25 ateliers d’artistes étrangers. le souhait de jean-michel faudemer est que la soit un vrai lieu de découverte et d’étonnement pour le grand public afin de démocratiser l’art actuel (vendre à petits prix afin que monsieur « tout le monde » puisse s’offrir une œuvre originale) et surtout que ce lieu soit dominé par l’échange, la convivialité et la créativité. bienvenue à la agenda du 07 mai au 13 mai 2018 : artochis du 14 mai au 20 mai 2018 : pierre jean veillard du 21 mai au 27 mai 2018 : sophie lormeau du 28 mai au 03 juin 2018 : elisabeth guilhem du 04 juin au 10 juin 2018 : arielle pain du 11 juin au 17 juin 2018 : lydie ottelart du 18 au 24 juin 2018 :anna poulin du 25 juin au 1er juillet 2018 :galerie mariska du 02 juillet au 1er août 2018 : valérie greifenberg du 03 au 09 septembre 2018 : théo appel du 10 septembre au 23 septembre 2018 : victor faccarello du 24 septembre au 30 septembre 2018 : christine goude du 1er octobre au 7 octobre 2018: karin lansen du 08 au 14 octobre 2018 : marie azéma et bertrand métivier du 15 au 21 octobre 2018 : jcaa ( japon) du 22 octobre au 28 octobre 2018 : eva schmidt du 29 octobre au 04 novembre 2018 : etsuko adachi du 5 novembre au 11 novembre2018 : yamashita du 12 au 18 novembre 2018 : josé escriche du 19 au 25 novembre 2018 : liên amar du 26 novembre au 2 décembre 2018 : giovanna galli du 03 au 09 décembre 2018 : christine gondé du 10 au 16 décembre 2018 : ako aguisake jean-michel faudemer voir pdf téléchargeable je suis né en 1954 dans un village de normandie, dans une famille de forgerons de père en fils. a 23 ans ma profession m’amène à parcourir le monde pendant plusieurs années. a 40 ans une promenade en bord de mer à l’île de bréhat fait resurgir mon enfance baignée d’outils, de tubes métalliques, de fers à cheval … trois morceaux de fer rouillé abandonnés sur le sable, aux formes insolites, me révèlent un talent caché. n’ayant sur le moment que mes mains, j’assemble ces éléments «en force». le premier assemblage est né, il devient alors un défi à la fragilité et au déséquilibre, ainsi qu’une intuition artistique dépassant le fruit du hasard. plusieurs générations de forgerons renaissent à travers moi, sous une expression et une technique personnelle. un nouveau voyage aux confins de l’abstraction et de la figuration se profile : celui d’une découverte intérieure. depuis mes premiers assemblages, j’évolue dans les techniques et les matériaux utilisés. je ne me limite plus au fer et les plastiques, le bois, le caoutchouc font leur apparition. une seule constante à tout cela la récupération dans la nature ou dans la ville et l’utilisation en l’état, chaque objet ayant son histoire. les expositions se suivent avec des thèmes différents : végétales , gratte ciels , bye bye les bling bling , poésies déchettales , avec un point commun à tout cela : la récupération et le recyclage. mes dernières oeuvres se dirigent de plus en plus vers l’abstraction, avec des collages de matériaux. 2014 gmac (la bastille paris) -paris espace des blancs manteaux « la métamorphose des matériaux » 2013 espace des blancs manteaux « la métamorphose des matériaux » – paris 2012 galerie olivier nouvellet – paris hôtel iro « duos » – nei pori (grèce) espace des blancs manteaux « la métamorphose des matériaux » – paris 2011 « poésies déchetalles » – paris 2010 collectif français – tokyo (japon) « les bling bling » – paris 2009 hôtel le saint grégoire à saint germain des près – paris « bye bye les bling bling » – paris exposition collective les anges au domaine de verderonne de caroline corre 2007 manoir de saussey (50) 2005 exposition collective au palais royal – paris 2002 création de la 2001 galerie vincent pécaud – limoges galerie au dessus du volcan – paris halle saint pierre – paris salon des artistes du limousin – limoges 2000 salon de viroflay galerie selmersheim – paris salon des salons versailles 1999 galerie selmersheim – paris salon de vanves salon de viroflay salon tendances – viroflay 1998 code b’art aux blancs manteaux – paris 1997 comité d’entreprise air inter je collecte principalement sur les plages de nombreux restes de notre société de consommation (et de gaspillage) pour les assembler en créations très personnelles. après avoir récupéré depuis plus de 15 ans le fer rouillé, le bois flotté, les restes de bateaux, les végétaux divers, etc, mon champ de matériaux s’élargit avec l’entrée dans la danse des caoutchoucs, polystyrènes et autres plastiques. ces matériaux sont récupérés en l’état et portent encore la patine que la nature leur a donné. ces nouveaux matériaux manufacturés par l’homme font intervenir de façon plus évidente les couleurs. mes « bling bling » sont des personnages imaginaires, humoristiques et hauts en couleurs. ils sont volontairement aux limites du kitch et de l’outrancier. j’ai voulu ainsi dénoncer certains comportements outranciers et un mode de vie ravageur pour l’environnement et pour l’être humain, physiquement, psychologiquement et socialement parlant. je souhaite une prise de conscience des effets négatifs de notre mode de vie actuel en vous invitant à sourire (voire rire) en cette période où l’on ne sourie plus. a travers mes créations caricaturales, je dénonce les excès d’un mode de vie focalisé sur la consommation, la frime où l’argent est au centre du monde. les «bling bling» disparaîtront si ces comportements nocifs pour le société, l’homme et l’environnement eux aussi disparaissent. car faute de trouver les éléments qui les composent mes créations ne pourront plus exister : un message sacrificiel et un vœu pieux pour la protection et la beauté de la nature. j’espère donc de tout cœur que le «bling bling» deviendra une espèce en voie d’extinction … alors please, bye bye les bling bling ! dans mes autres séries, je récupère le fer rouillé, le bois flotté, les restes de bateaux, les végétaux divers, etc, afin de créer des séries de sculptures poétiques et intemporelles. ces séries sont intitulées les « métalliques « , les « végétales « , les « gratte ciels « , elles m’ont permis d’afficher mon seul titre honorifique, celui d’être créateur d’assemblages ! les artistes anna poulin de tokyo à los angeles en passant par les jardins de balata, le pacifique recèle de trésors colorés qu’anna poulin a retranscrits par des collages et des totems photographiques, comme un hymne à l’instant présent. designer de formation esdi à paris, l’artiste évolue pendant 15 ans dans la direction de création principalement sur des projets innovants dans les domaines des ntic. en parallèle depuis 15 ans, elle conçoit et réalise des œuvres plastiques, mosaïques et craies, ainsi que des œuvres graphiques sur des outils digitaux. aujourd’hui, elle partage sa créativité entre la photographie mobile, adaptée à son mode de vie nomade, la sculpture animalière au travers de laquelle elle défend ceux avec qui nous cohabitons sur la terre et le design graphique, sa gymnastique quotidienne pour révéler le meilleur de nous-mêmes. ces 3 activités complémentaires ont en commun les expérimentations et l’innovation. elles militent pour un monde sans barreaux et sans pesticides. a travers elles, anna poulin est heureuse de faire partager son regard coloré sur notre planète. exposition à la galerie3f du 18 au 24 juin 2018 en savoir plus stéphanie lerner « tidelines » l’exposition « tidelines » à la offre un voyage au pays des déchets plastiques qui envahissent l’océan et le littoral. l’artiste, sk lerner, franco-américaine, passionnée par la mer depuis son enfance en afrique, présente des œuvres créées à partir d’objets glanés sur la ligne de marée haute – le « tideline » en anglais –au gré de ses voyages en france, au maroc, en grèce, aux caraïbes. cordes de pêche, poches à huitres, bouées et autres déchets plastiques sont tissés, assemblés, transformés, revisités et parfois associés à des objets du monde naturel. cette exploration graphique autour des lignes, formes, couleurs et textures pose la question sur la place du plastique dans le monde d’aujourd’hui. le plastique ne disparaît jamais, alors pour l’artiste « chaque corde, chaque morceau de plastique, chaque filet ramassé, est un de moins qui mettra en péril la vie marine ». « tidelines » est un cri d’alarme pour sauver l’océan. exposition galerie3f du 16 au 22 avril 2018 ( 14h à 19 h) tel 06 63 22 48 68 en savoir plus « sacrés collages » (du 5 au 11 février 14h à 19h) florian dudouit virgile dupont jean philippe berger smith smith frédéric ardiet arman brac le mouvement michel gasqui sylvie de ligny pallez valérie vincent marie neige « cyclopes…nouvelle vague » de jean-michel faudemer jean-michel faudemer présente ses « cyclopes …nouvelle vague » au salon « métamorphose 2017′ à l’espace des blancs manteaux du 28 décembre 2017 au 7 janvier 2018 . les dernières créations de l’artiste sont pleine d’humour et de couleurs .récupérations de plastique glanés sur les plages collées sur des « restes » d’affiches décollées de murs parisiens .la nouvelle vague est malheureusement polluée et porte les déchets de notre société de consommation ….à méditer !!! sophie helene exposition à la du 15 au 21 janvier 2018 après une enfance à carcassonne, elle a obtenu un bac arts appliqués, suivi les cours des beaux-arts de toulouse, eu un diplôme de design textile à l’ensaama (paris 15e) et exerce la profession de coloriste à cayeux-sur-mer. après 20 ans à paris, elle a un désir impératif de pleine nature. la baie de somme où elle s’installe l’a transformée et révélée plasticienne. ici ses sens sont en éveil, son regard s’aiguise. elle découvre le visage d’un monde qu’elle ne soupçonnait pas. la couleur des déchets régurgités par la mer dans la minéralité des galets de la plage exerce sur elle une vraie fascination : elle marche le long des laisses de mer, collecte des déchets anthropiques que l’empreinte des phénomènes climatiques a enrichis de variations chromatiques infinies. des collectes toujours plus riches sont la matière de ses travaux. ces rebus l’envoûtent et l’effraient. résidus des pratiques sociales et économiques de l’homme, elle les détourne pour atteindre notre sensibilité et bousculer notre conscience. jean pierre igoulen jean pierre igoulen jean pierre igoulen est né en algérie et en a gardé les bleus tendus, les jaunes telluriques, les blancs intenses mais aussi la fêlure d’une enfance marquée par la guerre. le temps d’un exil, il cherche sa voie. don quichotte généreux porté à tous les arts, il se donne au théâtre, il se donne en chansons (prix georges brassens en 1985 à sète). c’est vers la fin des années soixante-dix qu’il découvre la peinture, grâce à son ami jacques bucchini, alors professeur d’arts plastiques et artiste peintre reconnu. À l’origine la peinture n’est pour lui qu’un mode d’expression parmi les autres, influencé par nicolas de staël, franz kline, zaou wou-ki, il peint avec spontanéité, à la recherche de l’émotion dans les formes et les couleurs. sa quête de l’absolu le mène à l’abstraction. dans ses premières œuvres, les lignes sont déjà brisées, la couleur profonde. fou de mots, de sons, de rythmes, il peint en musicien, il peint en poète. son œuvre est sans calcul, sans réserve, sans retenue. elle éclaire «le soleil noir de nos mélancolies». jean pierre igoulen expose à la galerie3f du 12 au 25 juin 2017 en savoir plus jean bernard delbarre jean bernard delbarre jean-bernard, un grand pudique, a vraiment l’œil du photographe. il voit ce que les autres ne voient pas et il sent ce que les autres ne devinent pas. sa grande sensibilité lui ouvre les portes sur un monde à la fois forte et fragile qu’il arrive à capturer dans ses photos qui restent d’habitude dans son monde privé mais qu’il accepte de montrer aujourd’hui. jean bernard delbarre expose à la galerie3f du 12 au 25 juin 2017 clare delbarre clare delbarre depuis son atelier dans le gard, la créatrice de bijoux clare delbarre s’inspire de la nature afin de proposer de belles pièces uniques, fabriquées individuellement à la main où se mêlent argent et pierres fines. oiseaux, pétales et arbres deviennent de délicats bijoux, en version minimaliste ou plus élaborée au gré des coups de cœur de cette artiste. ses bijoux sont sobres, mais tout en délicatesse et indéniablement féminins. exposition à la galerie3f du 12 au 25 juin 2017 en savoir plus « mer et ciel » jean-michel faudemer jean-michel faudemer navigue régulièrement entre figuration et abstraction. il travaille par séries. cette exposition « mer et ciel » reste fidèle à la récupération des matériaux provenant des plages mais fait voyager vers des paysages imaginaires où les plastiques sont utilisés pour évoquer les éléments : l’eau, l’air, le feu et la terre. les minuscules bateaux naviguant au milieu des paysages marins symbolisent pour l’artiste la fragilité des hommes face à l’univers ainsi qu’une sorte de voyage dans l’au-delà .l’artiste reprend, sans le vouloir, un symbole omniprésent dans la mythologie ou dans certaines religions . le voyage c’est aussi pour lui cette nécessité d’aller vers les autres dans leur diversité et leur différence afin de ne pas tomber dans la peur et le rejet que développe honteusement en ce moment les extrémismes. les couleurs vives de l’arrière-plan des œuvres peuvent être infimes , mais pour l’artiste, elles sont une invitation à la joie, à l’espoir, à la raison et par extension à la spiritualité …et s’il faut évoquer la spiritualité l’artiste la voudrait moins « formatée » par les religions , plus respectueuse des hommes et de l’environnement ….cette exposition « mer et ciel » serait comme une création magnifiant les « mères » et le « ciel », comme un autre titre symbolique possible , qui sonnerait comme un hommage . du 23 janvier au 05 février 2017 ( ouverture du jeudi au dimanche de 15h à 19 h ou sur rdv) 58 rue des 3 frères 75018 paris tel 06 63 22 48 68 catherine clauwaert vezole catherine clauwaert vezolle appartient à cette génération de peintres qui sont animés par l’ enthousiasme et la désinvolture, ce qui contraste avec la sévérité des années 70 ( art minimal et conceptuel , arte povera, support surface …) sa formation l’a amenée à travailler et réaliser des icônes et autres techniques mais elle ne s’est réfugiée dans aucune nostalgie. elle s’inscrit sans honte ni culpabilité dans l’actualité de notre temps, avec un style coloré, graphique inspiré de la bande dessinée, de la science-fiction, des dessins d’enfants et de la culture pop , la culture des banlieues également tout cela frisant un surréalisme bien personnel quelquefois provocateur . cette artiste dans la mouvance de la figuration libre reste cependant ancrée dans un art « populaire » flirtant avec l’art brut teinté d’humour ou de poésie où le besoin d’exulter la violence de notre monde contemporain reste bien présent. jose cuneo josé cunéo est né à buenos aires est un dessinateurde bandes dessinées , illustrateur et peintre .né en argentine, cuneo s’exile en france en 1986. il dessine pour pif gadget puis pour gai pied , où il se fait connaître par des bandes dessinées de prévention contre le sida. il aborde librement la vie gay, comme son compatriote copi . ses dessins se caractérisent par des personnages caricaturés, dont les yeux partent dans tous les sens. il expose également comme peintre à paris et amsterdam et buenos aires . exposition à la galerie3f du 04 au 31 juillet 2016 en savoir plus jean-michel faudemer »la magie du chaos » exposition à la du 4 au 14 février 2016 ( du mercredi au dimanche de 14 h à 19 h) ou sur rendez-vous ( tel 06 63 22 48 68 ) cette oeuvre fait partie d’un série intitulée « chaos » elle est composée de matériaux récupérés sur les plages …ils s’agit de déchets de notre société de consommation. jean michel faudemer s’applique à créer des abstractions poétiques à partir de ces matériaux . ce sont des restes d’objets du quotidien fabriqués par l’homme mais « remaniés » par la nature , des plastiques, des caoutchoucs, des polystyrènes,…ces collages sur carton laissent apparaître certains volumes et ne restent pas dans l’aplat, s’apparentant ainsi à des bas reliefs modernes : les matériaux sont déformés , malaxés , ou boursouflés par la chaleur du soleil…. .l’artiste est intéressé par l’évolution du matériau lui-même, sa nouvelle texture , et pas seulement par sa forme ou sa couleur .le souci de retrouver une certaine »magie » dans le composition. le message est bien sûr écologique : il fait écho au nécessaire recyclage ,à notre mode de vie consumériste qui néglige la préservation de l’environnement et des paysages. . la nature peut rendre ces matériaux à l’aspect « organique » mais elle ne les digère pas et nous les absorbons par le biais de la nourriture que nous consommons.la nature aura le dernier mot par notre auto destruction si nous n’agissons pas . par ces compositions jm faudemer veut nous sensibiliser à l’importance du respect de cette « nature » que nous torturons au nom d’un mode de vie matérialiste souvent loin de la beauté , de l’humanisme , de l’amour et de la spiritualité liée à une religion ou personnelle .il exprime par ses créations la nécessité impérieuse de nous « re-naturer »et de vivre en harmonie avec cette nature blandine gault les poupées « singulières » l’artiste travaille avec des matériaux avec lesquels elle crée sa propre technique. elle a commencé encouragée par son psychiatre, parce que bipolaire (maniaco-dépressive). elle a voulu exister au-delà de tout ce qui lui arrivait. c’est une attitude tout à fait singulière. elle a le sentiment d’exister avec un « e » majuscule à travers son expression ainsi sa vie a trouvé un sens. ces petits personnages qu’elle appelle «poupées» sont constitués d’éléments récupérés, et de petits éléments découpés. il y a parmi elles des auto-portraits. en se promenant dans les déchetteries, elle s’est identifiée aux ordures. quand elle s’est rendue compte qu’elle était bipolaire, elle s’est dit qu’elle aussi était une ordure . elle s’identifie aux personnages qu’elle crée avec ces ordures, et en même temps se construit une existence d’artiste. a chaque personnage créé avec ces déchets, il y a une sorte de dépersonnalisation et elle retrouve dans ces personnages. c’est à chaque fois qu’elle crée qu’elle se construit à travers ses poupées et tellement heureuse de transmettre la joie qui en émane. ses personnages sont tous coquets et ont de beaux costumes ! blandine a fait des études de stylisme et aime travailler sur le thème de l’amour. les personnages sourient, rêvent et dansent. «ils disent que je suis bipolaire mais que tout va bien… pour moi, cela a été un hymne à la vie, de créer ces poupées, parce qu’elles m’ont permis de dépasser ce qui, à la base, aurait pu gâcher ma vie ! c’est pour moi une richesse.» il y a aussi les galets peints qui sont des éléments de sa vie reconstituée. le galet c’est la pierre qui a roulé, qui a connu des passages difficiles, comme blandine qui a une vraie histoire très humaine et très touchante. blandine gault exposera à la après l’été. tél 06 63 22 48 68 julia ganotis julia ganotis est une jeune artiste plasticienne et créatrice née en 1992. son travail explore la nature de l’invisible et de l’impossible, quelques subtils mélanges d’images rêvées face à la dure réalité de la vie. elle s’ exprime à travers des peintures, des dessins, des photographies et d’autres médias. elle travaille dans diverses séries, parfois en utilisant un thème général pour quelques productions, parfois juste un hors-série afin de créer un monde unique et onirique. cet univers où tout ce que vous pensiez s’avère être faux et tout ce que vous avez toujours rêvé devient une réalité, est la caractéristique marquante de son travail. dans le travail de julia vous allez parfois vous perdre dans son histoire, vous vous demandez parfois le pourquoi, mais vous ne pouvez pas manquer cette tension inévitable qui inspire sa vision exposition à la du 13 au 18 avril 2015 en savoir plus jean-michel faudemer jean-michel faudemer récupère de multiples matériaux depuis 20 ans principalement sur les plages. il les garde en l’état et les utilise avec leur aspect pour la composition abstraite ou figurative. cette exposition s’intitule megapolis en hommage à la grèce d’où viennent ces matériaux. ces mégapoles imaginaires rappellent par certains détails des villes que nous connaissons mais l’artiste laisse le spectateur imaginer ou non la ville de son choix. l’artiste soigne la composition et l’utilisation des plastiques avec leurs textures, leurs formes diverses et leurs couleurs, des objets fabriqués par l’homme, jetés dans la nature qui les a transformés. jean-michel faudemer travaille sur la verticalité qui symbolise pour lui l’énergie, la vitalité et l’élévation dans le sens de la quête du spirituel. l’idée est aussi de détourner et de prendre le contre-pied de l’image des mégapoles, utilisée dans les publicités à des fins publicitaires (et donc consuméristes), où finalement l’homme est seul. le matériau qui composait l’objet initial est détourné et recyclé et participe par le biais de l’artiste à détourner le symbole de la mégapole qui lui aussi devient recyclé. une démarche artistique engagée afin de dénoncer une société basée sur un consumérisme exacerbé qui devient une finalité et nuit à l’équilibre de l’homme et à la nature. la nature, avec ses éléments (le soleil, la mer, le sable, le vent…) modifie les plastiques dans leur aspect mais malheureusement ne les « digère » pas. au bout du compte elle aura le dernier mot sur l’homme et son désir de puissance qui le mènera à sa propre destruction s’il ne change pas son mode de vie : les mégapoles de jean-michel faudemer symbolisent aussi cet espoir. prix des œuvres affichées andré gautronneau (1920 -2008) andré marius théodore gautonneau n’était pas promis à la peinture, son père le destinait à être vétérinaire mais c’est vers les lettres, la sociologie et les sciences politiques qu’il se tourne en 1941. il commence une carrière de fonctionnaire puis de journaliste et se consacre entièrement à ses créations à partir de 1954. il suit par ailleurs des cours à la grande chauamière auprès de mazo et mac-avoy. après des débuts figuratifs début des années 50 il passe à une technique mixte mêlant matières à la peinture et se dirige vers l’abstraction. il vit pleinement les années 1960 et 1970 en travaillant l’acrylique, en aplat, dans des oeuvres où les signes prennent de l’importance (croix, treillis,balises…). de même, le chiffre s’impose dans la compréhension de son oeuvre. ses oeuvres s’inspirent de ses nombreux voyages, de sa passion pour les civilisations anciennes et de ses maîtres, pablo picasso et henri matisse. la figure humaine est déformée et les détails sont accentués. ce peintre nous amène dans son imaginaire grâce à un vocabulaire choisi et personnel. ces collages à encadrer œuvres originales signées (h 75 x l 63 cm) sont à 250 euros pièce. henry-noël aubry du 10 au 16 mars 2014 henry-noël aubry expose avec giovanna galli en savoir plus giovanna galli du 10 au 16 mars 2014 giovanna galli expose avec henry-noël aubry en savoir plus galerie en ligne bonne visite contactez-nous si vous souhaitez acquérir une des œuvres présentées ou nous contacter pour exposer, merci d'utiliser le formulaire ci-dessous (*champs obligatoires) : *nom prénom *téléphone *email *message * : fichier joint (jpg ou pdf 2 mo maxi) galerie3f 58 rue des trois frères 75018 paris tous droits réservés © - conception cld - connexion
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